17/04/2008
sucriers, tourments d'amour, etc...
je viens de passer huit jours aux Saintes, avec ma petite famille..
huit jours à 35 degrés, avec une mer de rêve, des balades, du tit punch, des paysages à couper le souffle!
Les Saintes, ce sont de petites îles au large de la Guadeloupe, des îles très sèches,où ne coule aucun cours d'eau, avec des fond marins magnifiques.
On logeait dans ce petit bungalow, là:
et tous les matins, de petits oiseaux appelés sucriers venaient picorer du sucre placé dans une calebasse exprès pour eux. Si on oubliait le sucre d'ailleurs, ils se faisaient un plaisir de vous réveiller en frappant à la fenêtre, vers 6h du matin. Charmants, non?
Nous, en regardant les sucriers, on se régalait avec les fameux tourments d'amour, des petits gâteaux à la noix de coco , à la banane ou à la goyave que le saintoises, paraît il, cuisinaient en attendant le retour de leurs pêcheurs de maris.. . Aujourd'hui elles les vendent dans de grands paniers, sur le port. Je vous montre ce délice... juste pour vous faire saliver!
la suite demain!:))
21:45 Publié dans Blog et blabla | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
T'es dure avec nous !! ;o))
Écrit par : * | 18/04/2008
T'es trop dure !!! ça devait être très chouette !
Écrit par : *Bidouille* | 18/04/2008
MDR ! bah ça marche, mes messages sont passés 2 fois ! le * c'était moué au fait...:D
Écrit par : *Bidouille* | 18/04/2008
oh l'autre éh !!!
t'as troqué ton pull en cashemire contre un "deux pièces" léger léger on dirait !!!
ben, dis donc, se la coule douce ces auteurs overbookés !!
rappelle-nous, c'est qui on éditeur ? parce qu'il m'a l'air de payer cash lui !!! ;-)))
ah c'est sûr que ce n'est pas à Flers que tu as du avoir un temps et des paysages pareils !!!!
bisous, princesse des îles.
(à la Charte, ils avaient pas stipulé que la marraine avait le droit à... non ? ah bon ! j'ai dû mal lire alors...)
Écrit par : calouan | 20/04/2008
aaah, j'aurais bien aimé t'emmener marraine, rien que pour te plonger avec un tuba!:))
bisous pluvieux
Écrit par : béatrice égémar | 21/04/2008
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